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« Joson et La Poux »

Après 4 ans et 11 mois de captivité Après 4 ans et 11 mois de captivité Le Retour de Joson Le Retour de Joson Jeudi 3 mai 1945 Jeudi 3 mai 1945 Sur les traces de Joson  + 70 ans après Sur les traces de Joson  + 70 ans après Le contexte en 1939 Le contexte en 1939 Le parcours de Joson Le parcours de Joson La captivité de Joson La captivité de Joson La déclaration de guerre La déclaration de guerre Pendant ce temps dans les Vosges Pendant ce temps dans les Vosges La seconde  Guerre Mondiale Après 4 ans et 11 mois de captivité Après 4 ans et 11 mois de captivité Le Retour de Joson Le Retour de Joson Jeudi 3 mai 1945 Jeudi 3 mai 1945 Sur les traces de Joson  + 70 ans après Sur les traces de Joson  + 70 ans après Le contexte en 1939 Le contexte en 1939 Le parcours de Joson Le parcours de Joson La captivité de Joson La captivité de Joson La déclaration de guerre La déclaration de guerre Pendant ce temps dans les Vosges Pendant ce temps dans les Vosges Page précédente Page précédente
À Sainte-Hélène, que se passe-t-il ? Les conditions de survie sont moins désespérantes à Sainte-Hélène qu’en milieu urbain. Le troc s’instaure, mais le rationnement est là. En décembre 42, c’est l’imposition en œufs ; en décembre 43, les volailles et les lapins doivent être déclarés en mairie. Les bons, délivrés à Sainte-Hélène, sont indispensables pour le textile, les pneus de vélo, les chaussures (semelle de bois) etc…. On enterre des casseroles pour ne pas être obligé de tout donner. L’armée d’occupation exige un contingent d’avoine pour chaque commune auquel s’ajoutent plus tard l’orge, les oléagineux de printemps, les légumes secs et les pommes de terre. Valérie achetait la nourriture ou autres marchandises chez Rochotte à Rambervillers avec des tickets de rationnement qu'on distribuait à la mairie de Sainte- Hélène. Chaque famille avait droit selon son ticket à de la viande, des pâtes... Il y avait aussi des bons d'essence. Les tickets de rationnement étaient répartis en plusieurs catégories : venaient en tête les travailleurs de force, les femmes enceintes, les adolescents de 13 à 18 ans. Les plus mal lotis étaient les vieillards, les infirmes, les malades mentaux et, bien entendu, les condamnés emprisonnés ou parqués dans les camps. On mourrait beaucoup de faim, de malnutrition, de maladies infectieuses ; il n'y avait pas encore d'antibiotiques. A la campagne à Sainte-Hélène , il y avait tout de même plus de choses : le lait, les œufs, les poulets, les lapins, ils ne pouvaient pas tout prendre !
SAINTE-HELENE SAINTE-HELENE La Libération dans les Vosges La Libération dans les Vosges Péripétie d’une enfant Péripétie d’une enfant SAINTE-HELENE SAINTE-HELENE La Libération dans les Vosges La Libération dans les Vosges Péripétie d’une enfant Péripétie d’une enfant
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À Sainte-Hélène, que se passe-t-il ? Les conditions de survie sont moins désespérantes à Sainte-Hélène qu’en milieu urbain. Le troc s’instaure, mais le rationnement est là. En décembre 42, c’est l’imposition en œufs ; en décembre 43, les volailles et les lapins doivent être déclarés en mairie. Les bons, délivrés à Sainte-Hélène, sont indispensables pour le textile, les pneus de vélo, les chaussures (semelle de bois) etc…. On enterre des casseroles pour ne pas être obligé de tout donner. L’armée d’occupation exige un contingent d’avoine pour chaque commune auquel s’ajoutent plus tard l’orge, les oléagineux de printemps, les légumes secs et les pommes de terre. Valérie achetait la nourriture ou autres marchandises chez Rochotte à Rambervillers avec des tickets de rationnement qu'on distribuait à la mairie de Sainte-Hélène. Chaque famille avait droit selon son ticket à de la viande, des pâtes... Il y avait aussi des bons d'essence. Les tickets de rationnement étaient répartis en plusieurs catégories : venaient en tête les travailleurs de force, les femmes enceintes, les adolescents de 13 à 18 ans. Les plus mal lotis étaient les vieillards, les infirmes, les malades mentaux et, bien entendu, les condamnés emprisonnés ou parqués dans les camps. On mourrait beaucoup de faim, de malnutrition, de maladies infectieuses ; il n'y avait pas encore d'antibiotiques. A la campagne à Sainte-Hélène , il y avait tout de même plus de choses : le lait, les œufs, les poulets, les lapins, ils ne pouvaient pas tout prendre !
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